Le « Fait religieux ». Sujet encore tabou dans beaucoup d’organisations d’autant que les entreprises du secteur privé n’ont pas la possibilité de se cacher derrière la notion de Laïcité.
Alors, on en parle ?
« Le récent avis du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies a donné une actualité nouvelle à l’affaire de la crèche Baby Loup et questionne le rapport de l’entreprise à la religion au travail. Cela alors même que, depuis 2016, l’enchaînement des lois, décrets et jurisprudences semblait enfin dessiner un cadre clarifiant la manière dont peut s’articuler la liberté religieuse du salarié et les besoins de limitation de cette dernière que justifie parfois le fonctionnement de l’entreprise.
La religion au travail pose des questions qui n’ont pas de réponses simples. Nous distinguons les faits religieux en fonction de leur nature : des faits personnels d’un côté, des actes transgressifs de l’autre.
Mais derrière cette dualité se cachent des comportements et des postures plus variés et plus complexes, plus situés également. L’interaction entre la personne qui exprime, d’une manière ou d’une autre, sa religiosité avec ses collègues, et le management, détermine la manière dont un fait ou un autre sera pris en compte et impactera la situation et les relations de travail ». (étude 2018 – L’entreprise, le travail et la religion)
Les Actions de sensibilisation sont soutenues par le Fonds ministériel de prévention de la délinquance (FIPD)
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